Jacques Demarcq, traducteur d’oiseaux et de littérature, interroge les limites du sens, et celles de l’humanité. Il fallait trouver une échappatoire à l’anthropocentrisme régnant. Pourquoi pas les oiseaux ? La légèreté de leur intelligence face aux événements, leur refus de croire au ciel qu’ils connaissent trop, et ce manque d’entêtement qui les fait ne pas tenir en place, en page, en cage….